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  • : Le blog de Danielle PERSICO
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5 septembre 2012 3 05 /09 /septembre /2012 23:59

Belle rentrée pour les élèves des écoles de Valence Bourg-lès-Valence et Portes-lès-Valence.

Une avancée pas des moindres puisque enfin les denrées alimentaires sont achetées localement et autant que possible biologiques (cf article). Ce qui n'est pas aussi simple de pouvoir servir 4200 repas cela en fait des kilos de fruits, de pommes de terre...Mais un bénéfice à long terme non mesurable pour la préservation de la santé des enfants et de notre environnement.


Je suis bien décidée à diffuser l'information la plus largement possible auprès des futurs parents sur les risques de certains produits utilisés au quotidien (alimentation, hygiène, bricolage...), dès la grossesse, durant l'allaiement et chez le nourrisson.

Avec le Collectif Allaitement Drôme Ardèche nous organisons une réunion publique le Mardi 23 Octobre sur ce sujet en présence de Philippe Perrin formateur en santé environnementale.

 

 

 

 

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commentaires

P
L'article américain cité par M.Bouchet indique que les qualités nutritionnelles des produits bio ou conventionnels sont identiques.Par contre il constate que les produits bio contiennent peu de<br /> pesticides .<br /> <br /> Ceux-ci sont, entre autres,neurotoxiques (ex:Parkinson) ou perturbateurs endocriniens(ex: obésité,diabète).<br /> Un agriculteur très connu,M.Paul François ,victime des phytosanitaires a eu le courage d'affronter M* et il aide ses collègues malades ou leurs veuves.<br /> EELV ne le cite jamais.<br /> <br /> Tous les produits agricoles sont "locaux" pour celui qui habite non loin.Mais aucune loi n'interdit au producteur de vendre sa production, lui-même et ailleurs en France ou par l'intermédiaire<br /> d'une coopérative qui la transforme et/ou l'expédie à 600 km s'il le faut.<br /> <br /> La consommation locale n'est pas nécessairement bio,car seuls des agriculteurs immatriculés à la chambre d'agriculture peuvent utiliser des intrants interdits à la vente aux particuliers.Et<br /> certains se font un petit jardin bio pour leur consommation personnelle.<br /> <br /> La livraison des produits "locaux" produit moins de co2.Par contre, comme le diésel est couramment utilisé, celui-ci émet plus de particules fines cancérigènes ,mais moins moins de co2.Les machines<br /> agricoles fonctionnent au gas-oil détaxé qui possède les mêmes propriétés.<br /> On sauve la planète,mais pas nos poumons.
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N
N'y voyez pas de malice, je pensais écrire un commentaire mais Gérard m'a devancé.<br /> <br /> http://bouchet.over-blog.com/article-12-171-les-malheurs-du-bio-109853691.html<br /> <br /> Alors ? payer 25% plus cher ses aliments,en pleine crise économique et sociale, ce n'est pas un privilège de bobo ?
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D
<br /> <br /> Bonjour M. Kechichian , je vous fais la même réponse qu'à mon ami Gérard<br /> <br /> <br /> Vous n'avez pas perçu le gros avantage des aliments biologiques qui sont l'absence d'antibiotiques, d'hormones et surtout l'absence de résidus de pesticides, qui sont des perturbateurs<br /> endocriniens et provoquent des cancers, des malformations...; L'exemple du lait et des vaches. Le lait bio provient de vaches ayant mangé de l'herbe dans des champs, ou du foin dans l'écurie,<br /> sans engrais ni pesticides ( c'est du bons sens). Le lait non bio provient de vaches ayant mangé peut-être de l'herbe mais aussi des tourteaux de soja à la sauce OGM, avec un peu d'antibiotique<br /> et d'hormone de croissance pour accélérer la production du lait!! Par contre heureusement l'équilibre en nutriments ( sucre, protéines, lipides, calcium...) sera le même pour le lait bio et non<br /> bio. Le lait étant fabriqué par les cellules de la glande mammaire à partir du sang, qui a une composition stable pour une vache en bonne santé!!<br /> <br /> <br /> Le lait bio sera dons plus cher que le lait non bio puisqu'il a un mode de production plus onéreux et  un label coûteux car  très surveillé, ils auront la même qualité nutritive pour la<br /> croissance des enfants mais les laitages non bio peuvent contenir des OGM, des antibiotiques, des hormones, des pesticides.. si vous trouvez ça bon pour la santé, je vous les laisse volontiers.<br /> <br /> <br /> Ce sont les aliments transformés qu'ils soient bio ou non qui sont déséquilibrés sur le plan nutritionnel.<br /> <br /> <br /> Alors oui du bio et local, pour cela préservons nos terres agricoles péri-urbaines !!<br /> <br /> <br /> Je vous conseille la lecture du livre " manger bio c'est pas du luxe"...<br /> <br /> <br /> Pour moi, manger biologique pour les jeunes enfants et  les femmes avant la conception et pendant la grossesse c'est presque une prescription médicale ! Au même titre que l'arrêt du <br /> tabac et l'alcool.<br /> <br /> <br /> J'espère vous avoir convaincu si un jour vous voulez des enfants.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br />
2
voici 2 extraits du forum de "que choisir?" :<br /> <br /> <br /> 1-)http://forum.quechoisir.org/vrais-faux-produits-regionaux-t14872.html<br /> <br /> >la présidente d'une coop bio:<br /> <br /> Je suis nourrie 100% bio et au maximum locavore, donc, je me fais rarement avoir avec de vrais faux produits régionaux. ceci parce que, dans le bio, nous connaissons en général les producteurs et<br /> qu'il y a tout de même un peu moins d'arnaques.<br /> <br /> Cela dit, avant d'être nourrie bio, j'ai eu des problèmes de ce genre. Entre autres, les "petits fermiers" qui vous vendaient des "poulets de leur ferme", en fait vrais poulets de batterie achetés<br /> à un élevage industriel, revendus au prix d'un vrai poulet de ferme.<br /> <br /> Récemment, j'ai acheté un Neuchâtel prétendu fermier à un commerçant sur un marché. Le fromage était un vrai morceau de savon. Quand je me suis plainte, je me suis fait envoyer sur les roses, fort<br /> grossièrement. C'était un achat destiné à aider un petit commerçant, mais j'aurais dû plutôt aider ces pauvres petites GMS, qui, au moins, ont une certaine correction dans l'arnaque, bien que ce<br /> soit contraints et forcés.<br /> <br /> Ce qui m'est arrivé aussi, au début que j'étais dans le bio, ce sont les arnaques au bio ou qu'on ait profité de ma distraction pour me voler en ne me donnant pas la marchandise que j'avais payée.<br /> J'ai ainsi acheté, la première fois que je suis allée dans un marché bio, des côtelettes de mouton absolument délicieuses. J'ai brusquement compris pourquoi mon père me disait que je ne savais pas<br /> ce que c'était qu'une côte de mouton. Naturellement, quand je suis retournée au marché, j'ai racheté des côtelettes, au même boucher. Elles étaient absolument ignobles, plus mauvaises que celles<br /> achetées dans un supermarché. En plus, il a "oublié" de me donner le bifteck que j'avais payé. J'ai eu aussi des soucis avec les poulets durs et mous à la fois, pleins d'eau et fibreux. Le<br /> revendeur était censé aller dans les fermes et ne rapporter que des produits bio et haut de gamme. Sans compter les oeufs. Au début, il m'a vendu des oeufs extraordinaires, qui avaient le vrai goût<br /> des oeufs qu'on trouvait encore dans les fermes, dans les années 50. Ensuite, j'ai eu des oeufs qui sentaient l'eau de vaisselle, et, même, des oeufs dont le blanc ne se mélangeait même pas au<br /> jaune.<br /> <br /> L'arnaque est un peu enrayée, dans le bio, par l'obligation de faire contrôler les produits vendus en magasin par un organisme spécialisé. Mais l'arnaque continue tout de même. Comme je suis<br /> présidente d'une coop bio, je vais chez les producteurs. C'est comme çà que j'ai pu constater qu'un producteur matraquait littéralement ses cultures à l'Or Brun. Vous me direz que çà vaut mieux que<br /> Monsanto, mais cela n'empêche que ce n'est pas bio. J'ai vu aussi un maraîcher bio, retraité, censé cultiver ses propres légumes qu'il vendait sur les marchés comme locaux, acheter lesdits produits<br /> à un magasin bio qui se les procurait chez un des pires grossistes qu'on ait dans la profession... Les légumes venaient de Dieu sait où, et, comme il est retraité, il ne paie plus le contrôle<br /> Ecocert, ce qui lui permet de vendre n'importe quoi comme sa production.<br /> <br /> Par conséquent, si vous voulez des produits régionaux, la seule solution est de vous les procurer dans une ferme dont vous connaissez bien les propriétaires. Sinon, le plus simple est de ne pas<br /> vous préoccuper de l'origine de vos produits. Il y a aussi les AMAP, selon les cas, vous tombez sur des mordus du locavorisme ou sur de fiers escrocs qui vont cueillir leurs salades au Lidl le plus<br /> proche...<br /> <br /> <br /> 2-)http://forum.quechoisir.org/vrai-bio-ou-faux-bio-t7959.html<br /> <br /> >un arboriculteur bio :<br /> <br /> Bio, non bio, vrai bio, faux bio... Aujourd’hui l’agriculture biologique est devenue tellement un phénomène de mode que l’on ne sait même plus quels produits nous assurent une alimentation saine.<br /> Tout le monde cherche le profit et qu’importe la méthode, pourvu que celle-ci rapporte de l’argent.<br /> Je voudrais tenter ici d’aider les consommateurs à mieux comprendre ce « bio » que l’on construit en masse et que l’on veut absolument voir sur toutes nos tables en vous racontant mon histoire.<br /> C’est en tant que producteur, mais aussi comme technicien arbo, que je vais essayer de vous éclairer...<br /> <br /> Installé depuis 2003 comme Arboriculteur Biologique sur un verger déjà en bio depuis plus de 10 ans, seul producteur de fruits bio de la région, j’avais le sentiment d’être au départ un peu « le<br /> phénomène écolo » que les autres arboriculteurs regardaient en rigolant.<br /> <br /> Aujourd''hui, ces derniers reconvertissent une partie de leur verger en bio ou plantent de nouveaux vergers. Quand cela a commencé, j''étais plutôt satisfait, c’était pour moi la clef de la<br /> réussite : un message enfin compris.<br /> <br /> Erreur ou naïveté de ma part : ces arboriculteurs convertis en partie n’ont que faire de la bio, seule la niche commerciale les intéresse. Pour cela, ils se regroupent auprès de centres techniques<br /> de productions et plantent des hectares de vergers bio intensifs. Ces vergers bio comptent entre 2.000 et 3.000 arbres par hectare dans le but d’obtenir des rendements 3 fois plus élevés (60 t/ha)<br /> qu’un verger bio traditionnel (20 t/ha) : le symbole même de la spéculation et du business financier ! Qu’importe l''éthique, le principal est de faire du bio à n’importe quel prix, quelles que<br /> soient les méthodes employées. Ces vergers subiront 60 à 80 interventions phytosanitaires (autorisées au cahier des charges bio), soit en moyenne 2 traitements par semaine. Sachez également que,<br /> malgré leur autorisation, de nombreux produits sont nocifs pour la santé humaine et font mourir un grand nombre d’auxiliaires utiles aux cultures, notamment nos abeilles. Il est évident qu’en<br /> densifiant les populations, les arbres seront plus sensibles aux facteurs extérieurs et, comme la production de fruits est très technique, ces traitements sont quasi obligatoires.<br /> <br /> Ma question est alors la suivante : avec de telles méthodes et de telles autorisations, la production de fruits biologique ne serait-t-elle pas plus dangereuse pour l’homme et notre environnement<br /> que la production fruitière du conventionnel qui utilise des insecticides spécifiques (acaricides, aphicides…) et avec un cahier des charges relativement homogène entre tous les pays, contrairement<br /> à celui de la bio ? Il est quand même triste qu’en tant que producteur bio, je puisse me poser une telle question. Ainsi, vous verrez donc des vergers palissés avec de grands poteaux, des filets<br /> nylon au-dessus des pommiers pour lutter contre la grêle, des systèmes d’arrosage très performants et intempestifs .
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