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  • : Le blog de Danielle PERSICO
  • : Informer les habitantEs sur la vie politique et la vie municipale et échanger sur les engagements qui me tiennent à coeur
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25 janvier 2016 1 25 /01 /janvier /2016 17:19

Le tribunal de grande instance de Nantes vient de valider lundi 25 janvier 2016 l’expulsion de 11 familles et de quatre agriculteurs, habitants pour certains depuis plusieurs générations sur le site du projet d’aéroport de Notre-Dame-des-Landes.

Il s’agit avant tout d’un désastre pour les familles concernées.

Les écologistes prennent acte de cette décision, dont l’action en justice est initiée par une filiale de Vinci, et rappelle que des recours concernant la loi sur l’eau et des espèces protégées sont toujours en cours : or le Président de la République s’est engagé à ne pas débuter les travaux ni à procéder à des expulsions tant que les recours ne sont pas épuisés, appels compris.

La Commission européenne a également mise en demeure la France de respecter le droit environnemental européen.

Les écologistes réaffirment leur opposition ferme à un non-sens écologique et économique. Des options alternatives existent qui respectent la démocratie locale et l’environnement : l’optimisation de l’aéroport nantais actuel, qui préserve les terres agricoles et la biodiversité, doit être la solution privilégiée.

Quelques semaines après la COP21, le Président de la République François Hollande doit abandonner officiellement ce projet aberrant afin d’envoyer un signal fort de la France au reste du monde sur la cause environnementale et climatique.

L’incohérence et le reniement des promesses faites en lançant les travaux à Notre-Dame-des-Landes seraient une faute politique et écologique graves, faisant voler en éclat l’exemplarité française promise lors de l’accord de réduction des gaz à effet de serre signé entre 196 pays en décembre dernier, et alors même que le projet de loi Biodiversité est en cours d’examen au Sénat.

Les écologistes continueront d’appuyer la mobilisation populaire et pacifique contre un projet absurde, symbole et symptôme du monde d’hier et de tous les grands projets inutiles et imposés, et met en garde le gouvernement contre toute décision hâtive d’évacuation du site ou de passage en force contraire à l’apaisement et au dialogue nécessaires dans une telle situation.

Julien Bayou et Sandrine Rousseau, porte-parole nationaux

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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 08:06

Une zone humide est un espace à enjeu dans une ville, elles doivent être protégées et mises en valeur.

Comme les terres agricoles en périphérie des villes, les zones humides disparaissent en France.

Quelques chiffres parlant pour la France  :  tous les 7 ans il disparait la surface d'un département de terres agricoles, et , chaque année 30 % des zones humides disparaissent.

 

Coome pour beaucoup de sujets  cette prise de conscience globale nous impose d'agir localement.

 

Pour les terres agricoles notre groupe municipal EELV a oeuvré pour qu'elles  soient préservées.

Nous sommes intervenus dès Juillet 2010 pour dénoncer la venue de Décathlon-Oxylane à Valence Projet Décathlon Oxylane Le projet Oxylane Décathlon est adopté à une voix près!. La mobilisation citoyenne associée à la persévérance des éluEs a eu gain de cause pour ce terrain de 40 ha.  Il reste le terrain de Maninet (Clauses)  nous n'avons pas voté le projet de PLU en l'état  pour préserver ces terres fertiles Conseil municipal 25 Février 2013 les points forts .

 

Un autre sujet sur lequel les écologistes s'impliquent en particulier l'élue que je suis au cadre de vie,  est le sujet des zones humides et espaces naturels sensibles. Dès notre arrivée en 2008, les éluEs Verts et Citoyens avons été   alertés par les riverains et des naturalistes qui sont devenus des partenaires. Nous avons pu bloquer un projet immobilier qui allait se réaliser sur une zone humide à Châteauvert. La ville a acheté 7000m2 de zone humide qui est en voie d'aménagement.

 

Mais à Valence il y a d'autres zones humides qui ne sont pas répertoriées forcément par les instances compétentes parce qu'elles sont de petite surface mais néanmoins utiles comme réservoirs de biodiversité et maintien de la qualité de la ressource en eau.

Le travail sur le  PLU (Paln Local d'Urbanisme)  n'a pas pu répertorier toutes les zones humides de Valence. Et nous découvrons lors de projets immobiliers l'existence de ces zones humides qui risquent de disparaître. C'est toujours grâce à la veille des riverains que nous sommes alertés et alertons ainsi la majorité.

Les deux projets immobiliers  actuels qui posent question sont le projet de Fontlozier, et celui du Grand Charran. Des constructions d'habitations dans des  zones pouvant avoir le caractère de zone humide. Pour Fontlozier notre alerte a permis de concerter le Conservatoire Régional des Espaces Naturels.

Pour le Grand Charran la mobilisation des riverains et la mienne  en tant qu'élue municipale responsable des espaces naturels a permis de poser des questions avant que soit présentée une délibération entérinant la vente de la parcelle concernée par le projet immobilier. Ce qui me permet de confirmer que la parcelle du Grand Charran est toujours propriété de la ville. Il n'y a aucune délibération de Conseil municipal entérinant la vente de ce terrain à un promoteur. J'ai demandé au maire de demander l'avis du Conservatoire Régional des Espaces Naturels pour savoir si la faune, la flore, indiquent une zone humide dans ce lieu, et imposerait  une préservation et un classement en zone humide.

Les riverains se mobilisent et ont constitué une pétition. Nous les soutenons  et serons à leur côté pour préserver cet espace naturel en pleine ville comme tout autre espace permettant le maintien des équilibres écologiques.

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10 avril 2013 3 10 /04 /avril /2013 00:10

Depuis quelques années on assiste à un déclin dramatique des insectes pollinisateurs en particulier des abeilles.

Or une grande partie des légumes, des fruits ont besoin de la pollinisation pour se développer.

Plusieurs raisons à ce déclin :  parasites, champignons... et aussi les pesticides.

 

Greenpeace vient de rendre compte d'une étude qui montre la cause du déclin des abeilles, en particulier la responsabilité des pesticides.

 

"Les pesticides dits systémiques sont particulièrement dangereux pour les abeilles, car ils ne sont pas seulement pulvérisés sur les végétaux mais pénètrent dans toute la plante. En font partie les insecticides de la classe des néonicotinoïdes utilisés depuis le milieu des années 90 en traitement prophylactique sur les semences ou les sols ou pulvérisés directement sur les cultures. Les néonicotinoïdes sont cent fois plus toxiques que d’autres insecticides. Un seul grain de maïs enduit de 0,5 mg de clothianidine peut tuer 80 000 abeilles.

Greenpeace révèle dans ce rapport les sept pesticides tueurs d’abeilles qui devraient être interdits en priorité en Europe en raison de leur extrême toxicité pour les abeilles. Il s’agit de l’imidaclopride, du thiaméthoxame, de la clothianidine, du fipronil, du chlorpyriphos, de la cyperméthrine et la deltaméthrine.

Il faut agir : dès maintenant et sur le long terme !

 
D’abord, l’Union européenne doit agir immédiatement afin d’interdire durablement l’ensemble des pesticides les plus destructeurs pour les abeilles.

L’interdiction des pesticides chimiques doit devenir la norme. Contrairement à l’agriculture conventionnelle, l’agriculture écologique n’utilise aucun insecticide chimique. L’élimination des mauvaises herbes se fait mécaniquement, la biodiversité est la norme. L’agriculture écologique utilise la diversification des cultures comme un outil pour combattre les dégâts des insectes nuisibles dans les champs.

Il est également nécessaire de mettre en œuvre des mesures de promotion de la biodiversité sur les terres agricoles et de protection et de restauration des écosystèmes pour préserver l’environnement dont les abeilles et autres pollinisateur ont besoin pour vivre. En font partie: les haies, les jachères florales et les réseaux de biotopes.

Les jardins et parcs naturels où poussent des espèces indigènes sont d’autres atouts. Il faut aussi renoncer aux pesticides chimiques dans ces espaces et favoriser une large biodiversité."

 

A notre échelon municipal nous essayons d'agir.

Sous l'impulsion de Michèle Rivasi dès 2008, nous sommes arrivés à ne plus utiliser de pesticides dans l'entretien des espaces verts de la ville c'est plus de 30 000 € par an d'économie, et combien d'économies secondaires de maladies et de pollution évitées

Nous travaillons avec des apiculteurs pour l'introduction d'abeilles dans certains espaces verts de


la ville. C'est une goutte d'eau mais comme l'écrit Greenpeace3428615662_1e288105d4.jpg "Les abeilles sont beaucoup trop précieuses pour que les responsables politiques continuent à rester passifs face à leur déclin spectaculaire. Des mesures doivent être prises."

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23 novembre 2012 5 23 /11 /novembre /2012 15:37

Nos affiches bleues  EELV "Impasse Notre Dame des Landes" ont été enlevées à Valence sur ordre du Maire, alors que la police est en ce moment  même entrain d'évacuer violemment les personnes dont des militantEs EELV sur le terrain de NDDL !!

 

La mobilisation continuera dans la Drôme  ..sous quelle forme on ne sait pas encore.

 

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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 21:34

Ce vendredi 16 novembre, EELV Valence a organisé, dans le caNDDL2dre de la mobilisation nationale contre la construction de l'aéroport Notre-Dame-Des-Landes, dont j'ai déjà souvent parlé dans ce blog, le re-baptême des rues de la ville "Impasse Notre-Dame-Des-Landes". Car construire cet aéroport, à 20km de la ville, en bétonnant 650 hectares de terres agricoles et plusieurs dizaines de zones humides qui sont de véritables réserves de biodiversité est bien une impasse. L'aéroport existant a largement la capacité d'accueillir le trafic aérien vers la région. Il est urgent de protéger les terres nourricières, alors que, en France, c'est l'équivalent d'un département qui se bétonne tous les ans. Il est aussi stupide de participer à la croissance du trafic aérien, alors que c'est le prix du pétrole qui va s'envoler dans les années à venir ! Sur les 4 milliards d'euros d'argent public que va coûter la construction de cet aéroport, il y aurait tant d'autres choses à faire, pour engager la transition écologique.  Nous ne cesserons de le rappeler au gouvernement, comme de nombreux groupes EELV l'ont fait dans les villes de France !

 

 

 

NDDL

Samedi, c'est sur le site des travaux prévus que la mobilisation s'est concentrée, avec une manifestation historique regroupant plus de 35 mille personnes (au milieu du bocage nantais). De nombreux responsables écologistes étaient présents (Pascal Durand, notre secrétaire national, et de nombreux parlementaires) ainsi évidemment, que des centaines de militants d'EELV au milieu d'une multitude de citoyens demandant l'arrêt de ce projet stupide. La manifestation s'est très bien passée, de manière pacifique. On espère maintenant que le gouvernement va entendre ce cri ! 

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7 octobre 2012 7 07 /10 /octobre /2012 00:25

 Les communes ont en charge la production, la distribution de l'eau potable. A Valence ce service a été délégué depuis 1969 à la Lyonnaise des eaux devenue Véolia. Notre  contrat pour la gestion de l'eau potable se termine fin 2013 soit 44 ans après . Une analyse du contrat a été réalisée pour aider à la décision.

Dans le cadre de cette réflexion EELV a  participé ou organisé des débats sur ce sujet. Je viens de lire cette charte qui résume parfaitement notre position.

 

 

ARTICLE 1 : L'eau, bien commun
a. L'eau, source de toute vie, constitue un droit fondamental, inaliénable, universel et
imprescriptible. Son utilisation pour les besoins vitaux (tous les usages domestiques),
sa disponibilité pour la sécurité d’existence collective (activités agricoles,
industrielles...) et la préservation des équilibres naturels doivent être garanties.
b. L’eau constitue un bien commun, patrimoine de l'humanité. Elle doit être gérée de
manière responsable et solidaire pour assurer son partage entre utilisateurs et pour
préserver son usage aux générations futures.
c. L'eau est un bien public d’intérêt général qui ne saurait être considéré comme une
simple marchandise pouvant faire l’objet de rivalités et d’appropriation privée.
L’économie de l’eau (propriété inaliénable de la ressource, production, distribution,
assainissement et protection) appartient à la sphère publique. Elle doit être organisée
et contrôlée par l'autorité publique sous la responsabilité des représentants élus à
tous les niveaux territoriaux, en tenant compte des bassins hydrographiques.


ARTICLE 2 : Pour un service d’eau public et performant
a. Les collectivités territoriales doivent pouvoir sans restriction ni entrave d’aucune
sorte organiser les services hydriques, conçus comme des services publics d'intérêt
général, en constituant des entreprises publiques fonctionnant sous l'autorité des
représentants élus.
b. Les membres fondateurs d'Aqua Publica Europea entendent œuvrer à
l'amélioration constante de la performance des services hydriques dans un esprit de
coopération et de partenariat, d'échange d'expériences et de compétences entre
services publics d'eau dans la perspective d'un service public européen de l'eau.
c. Les membres fondateurs d'Aqua Publica Europea réaffirment clairement leur
engagement à travailler en toute transparence dans le cadre des procédures d'achats
publics.


ARTICLE 3 : L’eau, une gestion d’intérêt général
a. La libéralisation des services hydriques selon les logiques commerciales dominées
par des intérêts financiers privés à court terme, voire spéculatifs, doit être rejetée. La
gestion responsable, efficace, solidaire et durable des ressources hydriques nécessite
au contraire une vision à long terme, une approche patrimoniale, une coopération
avec d'autres secteurs de la société (agriculture, industrie,...) et un contrôle
démocratique caractérisé par la participation active des citoyens et le rôle renforcé
des usagers dans la gouvernance.
b. La place de l'eau commune dans l'espace public (bâtiments administratifs,
établissements d'enseignement, parcs, gares, musées,...) doit être revalorisée.
c. Les recettes provenant de la tarification des services d'eau doivent être
intégralement affectées à leur fonctionnement optimal. La prise en charge financière
des coûts inhérents à la sécurité hydrique collective, pour garantir le droit à l’eau pour
tous et assurer une utilisation équitable et soutenable de la ressource doit en outre
faire appel à des mécanismes de solidarité sociale et aux fonctions redistributives de
la fiscalité générale et/ou spécifique.


ARTICLE 4 : Pour une approche mondiale
Entreprises et autorités publiques européennes, nous sommes favorables à une
politique mondiale de l’eau fondée sur la priorité à l’accès à l’eau potable et aux
services sanitaires pour tous les habitants de la Terre. Il s’agit d’une priorité réalisable
en l’espace d’une génération. L’heure est à la prise de responsabilité effective quant à
la gestion de l’eau comme bien commun et public. Les entreprises et autorités
publiques européennes de l’eau sont conscientes de cet enjeu et veulent en devenir
des acteurs engagés.

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2 octobre 2012 2 02 /10 /octobre /2012 07:10

Une des premières mobilisations d'écolo quand j'étais  jeune fut celui de la protection du parc de la Vanoise dans les Alpes.

Nous avions les autocollants "Sauvons la Vanoise " sur nos vélos, maintenant c'est "Non aux gaz de schistes" ou "Sortir du nucléaire"

La Vanoise  fut le premier parc national de France .

Il semble que certains maires aient des ambitions pour en diminuer le périmètre, et pouvoir construire des remontées mécaniques.

Plus de 40 ans après sa création, nous devons soutenir la préservation de ce parc .

Une pétition circule, elle doit recueillir de nombreuses signatures.

 

http://www.avaaz.org/fr/petition/Appel_pour_la_Vanoise/?cAONeab

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10 septembre 2012 1 10 /09 /septembre /2012 22:36

On essaie de sortir de Valence pour échapper aux canons de Bonaparte mais on n' échappe pas aux coups de fusil puisque c'était ce dimanche l'ouverture de la chasse.

La FRAPNA a fait un communiqué de presse la semaine dernière sur le sujet de la chasse de divertsissement je m'y retrouve et je le publie ici :

"La seule chasse “écologiquement responsable” est la “chasse de régulation” justifiée et contrôlée, malheureusement encore nécessaire en l’absence de méthodes non létales efficaces.

La seule vraie lutte contre “les excès de la chasse”  est celle qui demande tout simplement l’abolition de la chasse de divertissement. Une chasse de divertissement qui concerne plus de 80 % des 91 espèces chassables et élimine chaque année, en France, pour le seul amusement des chasseurs, plus de 25 millions d’oiseaux et de mammifères...

“Lutter contre les excès de la chasse” est un combat désormais dépassé, le vrai combat, celui du 21ème siècle, est celui qui consiste à militer pour l’abolition de la chasse de divertissement.



L’ouverture de la chasse qui s’effectuait traditionnellement dans la Drôme, dans les premiers jours de septembre, tient désormais du rituel. En effet, par le biais des innombrables dérogations, exceptions et particularités locales, le chasseur français peut chasser ou piéger toute l’année : il n’y a plus de trêve pour la faune sauvage et par exemple, en ce début septembre, il y a déjà 3 mois que le chasseur drômois tue les chevreuils…
 
Durant l’année, les chasseurs français vont pouvoir chasser 91 espèces animales (un record européen) et le tableau annuel est de 25 millions d’oiseaux tués (second record) et plus de 5 millions de mammifères… Dans la Drôme, le nombre d’oiseaux sauvages tués chaque année se monte à plusieurs centaines de milliers, chiffre auquel il faut rajouter plus de 8OO chamois, 1000 cerfs, 4000 chevreuils…

Il serait temps d’entrer dans le XXIème siècle…
Aujourd’hui, et depuis longtemps, il n’existe plus chez nous de nécessité de chasser pour se nourrir.
 Durant les dernières décennies, les activités de pleine nature se sont multipliées entraînant une augmentation continue des conflits d’usage avec les chasseurs et de nombreux accidents, parfois mortels.
 Les progrès spectaculaires en matière de génétique, de biologie et de neurosciences, montrent de manière incontestable qu’il n’existe plus de frontière nette entre l’Homme et l’animal et que les animaux sauvages ou domestiques sont, eux aussi, des êtres conscients et sensibles.
La plupart des espèces sauvages chassées sont en mauvais état de conservation et voient leur espace vital diminuer d’année en année.  
 
La mise à mort intentionnelle d’un animal sauvage (la chasse) ne devrait désormais se justifier que vis-à-vis d’espèces qui, localement, et du fait du développement de leurs populations, posent problème aux activités humaines en termes économiques ou sanitaires. Or, plus de 80% des 91 espèces sauvages chassables en France, ne posent aucun problème et sont tuées par millions, uniquement par pur divertissement.
 
Si les tirs de régulation justifiés et contrôlés sont malheureusement nécessaires en l’absence de méthodes efficaces non létales, la chasse de divertissement, elle, devrait disparaître… C’est l’appel lancé par la FRAPNA Drôme dans son manifeste pour l’abolition de la chasse de divertissement.

Le 19ème siècle a vu l’abolition de l’esclavage, le 20ème celui de la peine de mort, le 21ème siècle pourrait bien être celui de l’abolition de la chasse de divertissement."

 

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3 septembre 2012 1 03 /09 /septembre /2012 23:59

 

 

 

cèdresIMG 0853     Juillet 2012

 

 

 

 

 

cedre--coupe-20120903-IMG_0982.jpeg Septembre 2012

Les deux photos sont explicites et n'amènent pas de commentaire si ce n'est la tristesse et la volonté que notre municipalité fasse différemment Comment préserver des cèdres centenaires ? 

Désolant, les cèdres rue Freycinet .

 

J'ai demandé au service que l'on puisse repérer les arbres remarquables à préserver  en ville et que nous puissions ainsiavoir des moyens de protection légaux pour les grands arbres qui font partie du patrimoine de notre ville.

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24 juillet 2012 2 24 /07 /juillet /2012 21:51

Je suis passée consulter les autorisations de permis de construire, le permis du  51 rue Freycinet a été signé par l'élue, je suis en colère j'avais demandé qu'on en discute avant de signer, qu'on puisse se donner un peu de temps pour envisager des solutions pour empêcher l'abattage des arbres. Mais non tel un rouleau compresseur nous appliquons certains réglements très simplement au plus facile sans chercher de solutions alternatives au plan juridique, même si c'est difficile ! C'est un peu  désespérant!

"En droit l'arbre est un immeuble, ce qui lui confère un statut particulier. L'arbre est un élément de paysage à ce titre les dispositions juridiques qui peuvent participer à sa protection sont nombreuses."

Dans :  les droits de l'arbre aide-mémoire des textes juridiques Juin 2003.

Je crois que nous n'avons pas tout fait pour protéger ces arbres, peut-être que des associations sauront mieux faire que nous!!

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